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Groupe 2
Répertoire 43 : Ernest BEAUCLERCQ (1895 – 1960)
Les descendants de JEAN BEAUCLERCQ (né probablement vers 1730)
époux d'Isabelle Scohy ( ? – ? )
Les descendants de JEAN JACQUES BEAUCLERCQ (1753 – 1833)
époux de Marie C. Henri (? – 1817)
Les descendants de CHARLES BEAUCLERCQ (1780 – 1827)
époux d'Anne Richir (1787 – 1875)
Les descendants de CHARLES BEAUCLERCQ (1818 – ?)
époux d'Anne Perniaux (1822 – ?)
Les descendants de LEOPOLD BEAUCLERCQ (1854 – 1922)
époux de Clémentine Stassin ( ? – ? )
Les descendants d'ERNEST BEAUCLERCQ (1895 – 1960)
Époux de Rosa Maghe (1er aout 1897 – 14 juin 1939)
Les descendants d'OSCAR BEAUCLERCQ (2 février 1928 - )
veuf de Oda HERREGODS (3 novembre 1935 - 16 mai 2014)
Leurs enfants et petits-enfants :
1. M et Mme Gérard BEAUCLERCQ (27 octobre 1955) – RIVAT
Route de Bascoup 26
7170 Fayt-lez-Manage 064 54 99 87
et leurs enfants :
- Laetitia BEAUCLERCQ (14 juillet 1979) Sur Facebook !
Et sa fille Lara BEAUCLERCQ (18 octobre 1991) Sur Facebook !
- Gwenaëlle BEAUCLERCQ (13 mars 1987) Sur Facebook !
habite à Biévène depuis 1972 gbeauclercq@hotmail.com
- Loïc BEAUCLERCQ (26 mars 1990) Sur Facebook !
habite à Fayt-lez-Manage
2. Madame Gabrielle BEAUCLERCQ (3 juillet 1958) 0494 65 58 96
Séparée de Bernard CASAGRANDE depuis 1994
Compagne de Jean-Pierre BOUHIERE
Rue Cambier 17
7170 Haine St-Pierre Sur Facebook !
et ses enfants :
Photo datant de janvier 2014
1 = Lorenzo 2 = Franck 3 = Mélanie 4 = Pierre 5 = Emilie
- Lorenzo CASAGRANDE (12 août 1976) Sur Facebook !
Rue Emile Cambier 17 0494 76 23 97
7110 Haine-Saint-Pierre
Et sa fille : Emma Casagrande
- Franck CASAGRANDE (24 février 1978) Facebook ! En couple avec Jen ?
0495 63 54 36
Rue de l'Entraide 4
7110 Maurage
Et leurs enfants : May-li ………… et Fabio Casagrande
- Mélanie CASAGRANDE (27 mai 1983) Sur Facebook !
En couple avec David BEUTELS
Rue des Marécages 8 0499 34 18 64
4000 Liège 04 269 14 90
Et leurs enfants : Florentin Coquereau et Lola Beutels
- Pierre CASAGRANDE (28 avril 1988)
En couple avec Priscilia Deligne
Rue Emile Cambier 17
7110 Haine-Saint-Pierre
Et leur fils : Lorenzo Casagrande
- Emilie CASAGRANDE (20 juin 1989) Sur Facebook !
En couple avec Cindy Tilmant 0496 70 93 08
Rue de Longtain 28 / 302
7100 La Louvière
3. M et Mme Raoul BEAUCLERCQ (27 juin 1960) – Maryse DUVAUX
Sur Facebook !
Rue Cirière 58
7170 Manage 064 26 17 48 n’est plus valable
Et leurs enfants :
- Julien BEAUCLERCQ (20 juillet 1983) – Fanny CHAN 0485 31 36 58
Rue Bonaventure 113
1090 Jette - Bruxelles julienbeauclercq@hotmail.com
Et leur fille Charlotte BEAUCERCQ (Mons, le 15 février 2013)
- Mickaël BEAUCLERCQ (28 août 1985) 0499 16 03 71
Rue du Moulin 11 Sur Facebook !
7100 La Louvière
- Jordan BEAUCLERCQ (11 mai 1988) Sur Facebook !
En couple avec Kristel BERNARD
Domicilié à 7160 Chapelle-lez-Herlemont
4. Madame Claudine BEAUCLERCQ (21 décembre 1961) n° G.S.M. non communiqué
Divorcée de Patrice NIEMEGEERTS
Rue De Baume 285
7100 La Louvière
Et ses enfants :
- Sabine NIEMEGEERTS (2 juin 1981) Sur Facebook !
En couple avec Robert QUERTAIN
Domiciliés rue de la Loi n° non communiqué
7170 La Hestre
Et leurs enfants :
- Mika QUERTAIN (3 mars 2005)
- Lana QUERTAIN (20 ou 21 juin 2008)
- Stéphane NIEMEGEERTS (1er janvier 1984)
Rue Tierne du Bouillon n° non communiqué
7100 La Louvière
Pseudo : « Steph Ptiangel » sur Facebook !
- Virginia NIEMEGEERTS (4 mars 1985) Sur Facebook !
Domiciliée à Haine-Saint-Pierre
Adresse précise non communiquée
0494 80 28 25
Et son fils Kelian NIEMEGEERTS
- Rémy NIEMEGEERTS (7 février 1991)
dit « Remy LENG » (fils de Christian LENG, décédé)
En couple avec Elodie LOREZ
Rue De Baume n° non communiqué
7100 La Louvière
Tous deux sur Facebook !
Et leur fille Zvëlyna NIEMEGEERTS
5. Mme Corinne CARLIER (14 novembre 1963) Sur Facebook !
veuve Jacques BEAUCLERCQ (1964 – 24.07.2014)
Chemin de Familleureux 14 0496 800 718
7110 Houdeng-Goegnies
et ses quatre fils :
- Emilien BEAUCLERCQ (13 février 1985) Sur Facebook !
en couple avec Aurore Picry
Chemin de Familleureux 14
7110 Houdeng-Goegnies
- Dempsey BEAUCLERCQ (15 janvier 1987) + Morgane CONDE
Sur Facebook !
et leur fille Léane BEAUCLERCQ (3 juillet 2014)
- François Pierre dit « Pilou » BEAUCLERCQ (6 décembre 1989) + Jessica ARNHEM
Sur Facebook !
Chemin de Familleureux 7
7110 Houdeng-Goegnies
et leurs enfants :
Lionel BEAUCLERCQ (27 aout 2013)
Kalista BEAUCLERCQ (4 novembre 2014)
- Maël BEAUCLERCQ (3 octobre 1997) Sur Facebook !
Chemin de Familleureux 14
7110 Houdeng-Goegnies 0493 71 51 57
Maël, François Pierre dit “Pilou”, Emilien (en Père Noël) et Dempsey BEAUCLERCQ
Photo datant de décembre 2013
6. Madame Judith BEAUCLERCQ (29 février 1968) Sur Facebook !
Épouse de Pascal MICHEL (5 février 1964) Sur Facebook !
Rue de la Briquetterie 33
7170 La Hestre
Et leurs trois fils :
- Joris MICHEL (17 mars 1992) Sur Facebook !
- Lewis MICHEL (4 juin 1995) Sur Facebook !
- Steve MICHEL (2 aout 2001) Sur Facebook !
7. M et Mme David BEAUCLERCQ (6 mars 1971) - Véronique POROLI (2 juin 1970) « Vero Sublimo » et « Esprits Vero »
Tous deux sur Facebook !
Cité Parc Bois Robert 84
7170 Manage 064 60 97 32
G.S.M. de David : 0474 72 22 02
Et leurs enfants :
- Kevin BEAUCLERCQ (21 juin 1994) Sur Facebook !
Cité Parc Bois Robert 84
7170 Manage
- Xavier BEAUCLERCQ (26 novembre 1996) en couple avec Marine STEVENS
Pseudo : « Xavier Hard Bass » sur Facebook !
Cité Parc Bois Robert 84 0499 63 25 72
7170 Manage
Et leur fille Naomie BEAUCLERCQ (18 novembre 2014)
- Laura BEAUCLERCQ (4 mai 1998) Sur Facebook !
Pseudo : « Esprits Beauclercq » sur Facebook !
Cité Parc Bois Robert 84
7170 Manage
- Jérémy BEAUCLERCQ (9 mai 2001) Sur Facebook !
Cité Parc Bois Robert 84
7170 Manage
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Le spectacle de Barbara Hendricks au Zéphyr à Hem, le 4 mars 2023
BARBARA HENDRICKS ET SON BLUES BAND THE ROAD TO FREEDOM
Les chansons de blues et gospel ont joué un rôle très important en accompagnant et inspirant les activistes courageux qui ont lutté pour les droits civiques aux États-Unis, lutte menée par Martin Luther King dans les années 1950 et 1960.
Après avoir abordé pendant de nombreuses années le répertoire des grands noms du jazz dans « Barbara Sings The Blues », puis exploré les racines du jazz avec l’album Blues « Everywhere I Go », Barbara Hendricks nous a proposé ce soir un nouveau projet : « The Road to Freedom » (Le Chemin vers la Liberté).
Barbara Hendricks : voix
Mathias Algotsson : piano & orgue Hammond
Max Schultz : guitare
Ulf Englund : guitares et création lumièresLa force de l’émotion de ces chansons, et l’exemple de la conviction des activistes sont plus que jamais nécessaire pour nous aider à faire face aux complexités et aux contradictions de notre monde d’aujourd’hui, trop souvent basé sur la division et la haine, et pas assez sur l’amour et la solidarité dont parlait en permanence le Dr. King.
Pendant le concert, Barbara Hendricks a cité des extraits de discours de Martin Luther King, dont la modernité du message est encore d’une actualité criante 60 ans après. Elle a également récité le poème « Home » de Warsaw Shire lors de son Medley pour les enfants réfugiés.
Ce programme original, au swing irrésistible, foisonne de trouvailles, charme et surprend par son originalité. Dans le blues, la voix de Barbara Hendricks est comme un grand vin ; elle mûrit, s’enrichit de couleurs somptueuses, de rondeur et de chaleur. Elle met sa voix reconnaissable entre toutes au service de cette musique : une voix savoureuse aux timbres variés et une richesse des couleurs qui rend ce répertoire fascinant et envoûtant.
Références :
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200620 Excursion à Ypres
Notre première excursion après le « confinement » printanier :
Ypres et ses remparts
Ce samedi 20 juin, dernier jour du printemps, nous avons décidé de retourner à Ypres, une très belle ville de Flandre.
Ypres est une ville historique avec un patrimoine architectural important, qui témoigne de la grandeur qu'a connue la ville au Moyen Âge, où elle fut l'une des principales cités drapières de Flandre, comme Bruges et Gand. Au 13ème siècle Ypres comptait au rang des plus grandes villes d'Europe mais elle tomba rapidement en déclin au profit de ses voisines. Plus récemment Ypres a été au centre de batailles tristement célèbres.
Durant la Première Guerre mondiale, la ville et ses monuments historiques ont alors été entièrement détruits. La plupart des monuments et des maisons anciennes ont été reconstruits à l'identique après la guerre. Ce qui a donné lieu à un engouement pour le style régional, ainsi des maisons néo-flamandes diverses (gothiques, renaissances, baroques) mais s'inspirant très fidèlement de l'ancien ont été ajoutées pour compléter harmonieusement l'ensemble, ce qui donne aujourd'hui à cette ville un cachet flamand homogène et bien affirmé.
Notre objectif était de refaire une promenade sur les remparts qui entourent encore partiellement la ville. La balade peut débuter au niveau de cinq points d’entrée. Nous avons choisi de la commencer et de la terminer à la Porte de Menin.
Les fortifications d'Ypres sont les mieux conservées de notre pays. Cependant, elles ont connu un passé mouvementé. Leur histoire remonte à dix siècles, lorsque la ville a vu le jour sur les rives de l'Yperlée, un affluent de l’Yser qui donne son nom à la ville. Des fossés et des murs en terre protégeaient alors les habitants de la ville prospère. Les fortifications de la ville ont connu un premier temps fort vers 1390, avec l'édification de murs élevés et de tours d'angle robustes. Au fil des siècles, les fortifications ont été adaptées afin de résister à des armes de plus en plus puissantes.
Vers 1680, Vauban, le célèbre ingénieur français, a transformé les remparts en un énorme complexe doté de fortifications avancées et de bastions. Ypres défendait la frontière des États de l'époque et était un « tampon » qui devait encaisser les chocs des nombreux conflits entre les souverains européens. Chacune de ces confrontations a laissé des traces dans le paysage actuel formé par les fortifications, la ceinture verte qui entoure la ville.
La promenade des fortifications nous a permis de redécouvrir les plus beaux endroits des fortifications qui entouraient autrefois complètement la ville, depuis tout en haut, sur les remparts, jusqu’en bas, près des fossés. Notre promenade s’est achevée à l’approche des fortifications aujourd’hui disparues au nord et au nord-ouest de la ville.
Voici quelques photos qui nous laissent un très beau souvenir de notre première excursion pré-estivale.
N.B. Toutes les photos sont personnelles à une exception près.
Photo prise par F.G.
Toutes ces photos sont personnelles.
A. B.
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Le mardi 10 septembre 2019, en arrivant à Furnes, nous avons commencé par visiter
L’église Saint-Nicolas
Son histoire
L'église Saint-Nicolas, sur l'Appelmarkt, est un bel exemple d'église-halle gothique en Flandre occidentale. Cette église-halle a une histoire très compliquée.
L'église Saint-Nicolas est mentionnée pour la première fois en 1120, lorsqu'elle fut confiée à la jeune abbaye des Prémontrés de Furnes. L'abbaye Saint-Nicolas en gardera la charge jusqu'à la Révolution française. En 1494, l'église originale romane fut démolie et remplacée par une église-halle à trois nefs. La tour du 13ème siècle de style gothique primitif, dont la partie supérieure date du début du 14ème siècle, a été conservée. En 1775, le chœur central fut déplacé et agrandi en le dotant de deux chœurs latéraux.
L'église est située en plein centre classé de la ville. Une partie des maisons est incrustée dans le creux des nefs latérales.
Tout le bâtiment présente une combinaison colorée de briques jaunes et rouges, de pierres sablonneuses ferrugineuses, de pierres du Tournaisis et de pierres calcaires.
Dans le portail ouest on trouve la représentation des « 24 Anciens de l'Apocalypse », ainsi qu'un reste abîmé du « Christ entre la Vierge et saint Jean ».
Entrée latérale de l'église
Le niveau du portail d'origine donne une idée du rehaussement du sol depuis le 13ème siècle, date de sa construction.
La tour et sa cloche
La splendide église reconstruite au 15ème siècle possède, à l’ouest, une robuste tour carrée massive, datant des 13ème et 14ème siècles qui impressionne par ses allures de donjon.
La tour-donjon de l'église Saint-Nicolas est massive et semble écraser les petites maisons attenantes.
Dans la tour, haute de 48 mètres, se trouve une cloche dérobée au cours de la Révolution française mais récupérée un peu plus tard. Cette cloche date de 1379 et est une des plus vieilles cloches de Flandre, la plus ancienne cloche de Furnes. Cette cloche est appelée « 't Bommetje », seul vestige de l'ancien carillon. Elle a été intégrée au carillon actuel. Le visiteur attentif pourra reconnaître l'Hymne à la Joie lorsque le Carillon sonne les heures. Cette originalité en fait une des attractions principales de la ville.
Intérieur
L'intérieur de l’église est de type halle, avec trois vaisseaux d'égale hauteur.
Photo personelle
Elle contient de belles stalles.
Photo personelle Photo empruntée sur Internet
Sur le côté droit de la nef se trouve la croix de la Sodalité, en bois d'ébène et de buis.
La Croix de la Sodalité est particulière. Elle fut offerte par le chanoine Jacob Clou, à la Sodalité du Rédempteur Crucifié, créée par lui en 1637. Elle fait référence à la confrérie, une Sodalité de laïcs, qui organise chaque année, depuis 1646, la « Procession des Pénitents » de Furnes. Celle-ci a lieu chaque année, le dernier dimanche de juillet. Elle reproduit d'une manière vivante et populaire l'Ancien et le Nouveau Testament.
Triptyque de la Mort du Christ en Croix – 1534
A l'intérieur de l'église, il faut également s’arrêter devant un splendide triptyque datant du 16ème siècle (1534). Il se trouve sur le maître-autel. Cet intéressant triptyque représente la Crucifixion.
Ce tableau est attribué à Jan van Amstel (1500 – 1540), peintre connu, aussi appelé Jan de Hollander ou Jean de Hollande. En 1528 il est inscrit comme marguillier auprès de la Guilde de Saint-Luc à Anvers. On attribue à Van Amstel non seulement des tableaux à sujets religieux mais également des peintures relatant des scènes de cabarets et de bordels. Ce tableau-ci est considéré comme le plus important de l'église. Il a été expertisé à plusieurs reprises par des instituts nationaux et internationaux et a fait l'objet de plusieurs publications.
Parmi les autres œuvres d'art, il y a lieu de remarquer des tableaux du 17ème siècle et des monuments funéraires.
La Chaire de vérité
Statue de saint Nicolas en dessous de la chaire de vérité – 1837
Photos empruntées sur Internet
On ne peut manquer d’observer au bas de la chaire de vérité un groupe sculpté représentant saint Nicolas et trois enfants.
Cette statue a été réalisée par Louis-Joseph Parmentier (1784 – 1851) qui reçut sa première formation de son père puis s'en alla étudier à l'Académie de Paris. Plus tard il fit un voyage en Italie pour y étudier les chefs-d’œuvre de l'antiquité. Il a habité la majeure partie de sa vie à Gand où il était professeur à l'Académie des Arts. Il réalisa une multitude de sculptures tant religieuses que profanes.
L’église Saint-Nicolas de Furnes me semble un monument impressionnant à visiter.
A. B.
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Lors de notre excursion du mardi 10 septembre 2019 à Furnes, nous avons aussi eu l'occason de visiter
L’église Sainte-Walburge
Le Beffroi de Furnes L'église Sainte-Walburge
Photo empruntée sur Internet
Au 10ème siècle, lorsque les reliques de sainte Walburge ont été amenées dans l'église primitive, sainte Walburge lui a prêté son nom. Cette église reçut également un peu plus tard, une relique de la Sainte-Croix.
Cette première église ne résista pas aux invasions normandes. Elle fut rebâtie au 12ème siècle dans le style roman.
Le projet d'une nouvelle église fut lancé au 13ème siècle mais ne fut jamais terminée. La construction de l’église eut lieu en deux périodes et resta inachevée. De l’église gothique primitive (1250-1300) ne subsistent qu’un chœur, un déambulatoire et un vaisseau avec deux travées.
En 1350 on commença la construction d’une tour occidentale, mais par manque d’argent, la construction ne dépassa pas les soubassements détachés de l’église. Les projets de cette nouvelle église Sainte-Walburge étaient trop ambitieux pour l'époque et la cathédrale qui avait été envisagée ne vit jamais le jour, faute de moyens. De ces projets grandioses, seul le chœur haut de 27 mètres et la base d'une tour furent réalisés. Le chœur et la base d'une tour du 14ème siècle en témoignent dans le square voisin : la tour ouest inachevée de l'église de Sainte-Walburge porte actuellement le nom de « citerne » ! En 1720, on lui a attribué une nouvelle fonction : celle de réservoir d'eau de la ville.
La citerne - Photo empruntée à Internet
La citerne était ravitaillée avec l'eau de pluie qui venait des toits de l'église Sainte-Walburge et qui était redirigée grâce à deux tuyaux d'écoulement.
Lors de la seconde guerre mondiale, la Citerne a encore servi pendant les jours de mai 1940. Beaucoup de Furnois et autres concitoyens se sont abrités dans ce solide bâtiment pendant quatre jours et quatre nuits.
La citerne n’est seulement ouverte que lorsqu’il y a des expositions temporaires.
L’Eglise Sainte-Walburge est le seul exemple dans la zone côtière d’un édifice gothique de grande envergure : le chœur et ses absidioles remontent au gothique primitif. À l'intérieur de l’église actuelle, les proportions sont à la fois imposantes et harmonieuses.
Au début du 20ème siècle, l’église fut parachevée dans le style néo-gothique avec des vaisseaux collatéraux et un court vaisseau central. La nef transversale (1902-1907), avec deux travées, a été construite d'après les plans de l'architecte gantois Van Asshe.
Il faut y remarquer de magnifiques stalles de style Renaissance flamande, dues à l’architecte Otmaer van Ommen. Elles datent de 1596 et une chaire de vérité datant du 18ème siècle (1727) due à Hendrik Pulinx de Bruges, et représentant la vision de saint Jean à Patmos.
Photo personnelle
Outre ces deux magnifiques pièces sculptées, le trésor de l'église comporte encore notamment :
des orgues et un jubé datant du 18ème siècle (en 1743) construits par les lillois Godfried Gobert et Joseph Bosquet :
Photo personnelle
et de beaux exemples de peinture flamande du 17ème siècle tel ce tableau représentant le Christ au Purgatoire :
Photo empruntée sur Internet
Les vitraux bleus et rouges dans la chapelle Notre-Dame sont également remarquables.
Vitrail représentant saint François
3 photos empruntées sur Internet
À l’occasion du festival international d’orgue de Veurne-Westkust, de célèbres organistes y jouent de l’orgue.
Il ne faut pas manquer de visiter cette magnifique église qui ressemble plus à une cathédrale qu’à une simple église : tout y est si grand et si beau !
Photos personnelles
Photos personnelles
Situé derrière l'église Sainte-Walburge et offrant une vue sur de nombreux autres anciens bâtiments du centre-ville, s’étend un beau parc, pas très vaste, mais très agréable. C'est un havre de paix, un lieu très reposant : on peut y voir bassin avec ses nénuphars et des poissons nager autour des plantes.
A. B.
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