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Notre séjour en Corse,
du 21 au 25 septembre 2016
Jour 2 : A la plage de SANTA GIULIA de PORTO VECCHIO.
Au programme de ce jeudi 22 septembre : tout d'abord une belle journée ensoleillée à la plage !
A une quinzaine de kilomètres au nord de Bonifacio, nous aurions eu la possibilité de choisir la plage de Palombaggia...
La plage de Palombaggia
... mais grâce à mon petit "Bison futé", nous avons choisi de passer quelques heures sur la plage de Santa Giulia et nous ne l'avons pas regretté !!!
La plage de SANTA GIULIA (Son adresse : "Les Trois Deux" - Baie de Santa-Giulia - 20137 Porto-Vecchio)
La plage de Santa Giulia de Porto Vecchio est l’une des plages les plus connues du Sud de la Corse. Située dans un golfe bien abrité, de faible profondeur et composée de nombreux rochers, les fonds marins y sont remarquables et d’une clarté exemplaire. Ce vaste golfe est composé de plusieurs plages. La baignade se fait en pente douce. C’est à notre sens l’une des plus belles plages de la Corse. En été, la fréquentation est très importante mais le jour où nous nous y sommes rendus, il faisait très beau et il n'y avait pas trop de monde.
Au restaurant de la plage, nous avons été chaleureusement accueillis !
Au menu du jour : un merveilleux pavé de mérou sur son lit de légumes suivi de profiteroles et d'une coupe de champagne...
Où pouvions-nous être mieux ???
Vers le reportage suivant : A la découverte de BONIFACIO (2) - Lien URL
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Notre séjour en Corse, du 21 au 25 septembre 2016
Jour 1 : Arrivée à FIGARI
Le 21 septembre, notre avion a atterri à FIGARI (20114) vers 13 h.
L’aéroport Figari Sud Corse, situé à 5 km du village de Figari, est le 3ème aéroport de Corse en termes de trafic passagers commerciaux et le 1er aéroport insulaire pour l’aviation d’affaires.
Située dans le Freto, au sud de la Corse, proche de la montagne de Cagna, entourée par une nature préservée et bordée de plages sauvages, la commune de Figari est d’une étonnante beauté. Figari séduit également par ses hameaux pittoresques aux alentours, sa tour génoise dominant la baie, et un panorama superbe le long du littoral.
Jour 1 : A la découverte de BONIFACIO (1)
Après avoir pris les clés d'un beau "Partner Peugeot", voiture de location chez Europcar à l'aéroport de Figari, nous nous sommes dirigés vers Bonifacio où nous allions passer les trois premières journées de ce séjour en Corse.
Installation à l'hôtel "Le Royal" situé 8 rue Fred Scamaroni à 20169 Bonifacio.
Bonifacio, située à l'extrême sud de la Corse, est la commune française la plus méridionale de la France métropolitaine. Elle constitue après Porto-Vecchio la deuxième agglomération du Freto, microrégion s'étendant depuis Bonifacio jusqu'à Conca au nord et Monacia-d'Aullène à l'ouest en passant par Figari et son aéroport. En toute saison, elle vous offre une collection unique de monuments historiques, plus de 20 plages de sable fin et une collection exceptionnelle de paysages rares tant sur terre que sous la mer.
La ville comporte un port et une citadelle. Celle-ci est établie sur un cap dominant la mer par une falaise qui est une « veine » de calcaire, roche assez rare en Corse dont le sol est plutôt granitique. Ce cap est long de 1 600 mètres et large de 100 mètres.
Au sud, les Bouches de Bonifacio séparent la Corse de la Sardaigne italienne. J'ai bien tenté de faire signe à mon ami Alessandro qui est Sarde, mais il ne m'a pas vu !
La ville de Bonifacio est divisée en deux parties : on distingue la vieille ville fortifiée qui abrite les habitants dans son haut quartier et, d'autre part, le port marin situé dans le bas quartier.
Après notre installation à l'hôtel "Le Royal", nous n'avons guère perdu de temps et avons commencé - malgré un vent assez fort - la visite de la vieille ville, de deux églises, d'une partie des remparts ; nous sommes allés découvrir le panorama vers la Sardaigne, le fameux "Grain de sable" et le Cimetière marin.
Bonifacio est une des curiosités principales de la Corse ! La vielle ville avec ses étroites ruelles se trouve sur une hauteur de 60 m et partiellement le plateau de chaux creusé par la mer. Les maisons les plus devant ne pourraient pas être plus près de l'abîme ! Le port de Bonifacio se trouve tout au bout, à presque 1,5 km, dans un fjord profondément taillé, bien protégé.
La citadelle est établie sur un cap dominant la mer par une falaise qui est une « veine » de calcaire, roche assez rare en Corse dont le sol est plutôt granitique. Ce cap est long de 1 600 mètres et large de 100 mètres.
Dans le port sont alignés les cafés, les bars, les restaurants et les boutiques haut de gamme. Les amateurs de marche peuvent profiter des sentiers balisés des falaises et ceux qui sont en quête de farniente apprécier forcément les petites criques aux plages sablonneuses du nord de la ville.
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Notre séjour en Corse,
du 21 au 25 septembre 2016
Jour 1 : Le départ à l'aéroport de Lesquin (Lille)
Nous nous sommes rendus tôt assez à Lesquin (à une demi-heure de notre maison) pour ne pas être trop stressés pour ce départ...
Pour ma part, j'allais prendre l'avion pour la septième fois. Ceci est le récit d'un séjour de vacances... les premières depuis dix ans !
Notre avion arrive à Lille Lesquin ... et se prépare à partir pour Figari en Corse ....
Nous avons embarqué peu après 10 h et l'avion a décollé à 10 h 40.
Nous sommes arrivés à Figari avec une bonne demi-heure d'avance sur l'horaire annoncé !
Vers le reportage suivant : Figari et Bonifacio - Lien URL
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Petite excursion à Ypres
Ville de Belgique située en Région flamande, chef-lieu d'arrondissement en province de Flandre-Occidentale, Ypres est située à environ d'une demi-heure de mon domicile par la route.
Ypres est une ville historique avec un patrimoine architectural important qui témoigne de la grandeur qu'a connue la ville au Moyen Âge où elle fut l'une des principales cités drapières de Flandre, comme Bruges et Gand.
Au 13ème siècle, Ypres comptait au rang des plus grandes villes d'Europe mais elle tomba rapidement en déclin au profit de ses voisines. Plus récemment, Ypres a été au centre des tristement célèbres batailles d'Ypres durant la Première guerre mondiale, la ville et ses monuments historiques ont alors été entièrement détruits. La plupart des monuments et des maisons anciennes ont été reconstruits à l'identique après la guerre, cela a donné lieu à un engouement pour le style régional, ainsi des maisons néo-flamandes diverses (gothiques, renaissances, baroques) mais s'inspirant très fidèlement de l'ancien ont été ajoutées pour compléter harmonieusement l'ensemble, ce qui donne aujourd'hui à cette ville un cachet flamand homogène et bien affirmé.
Ypres est une ville au passé très riche et diversifié. Au Moyen Age, Ypres était une ville marchande prospère. Avec Bruges et Gand elle était alors une des grandes villes drapières flamandes. L'impressionnante halle aux draps avec son imposant beffroi est le témoin de cette période glorieuse. C'est l'un des plus grands monuments communaux du Moyen Âge en Europe, et aussi l'un des plus anciens (13ème siècle.)
La cathédrale Saint-Martin date également de cette époque.
La ville est entourée par une ceinture verte, les fortifications, qui offre de belles possibilités de promenade.
Ville de plaine, Ypres fut longtemps la plaque tournante du commerce entre la côte flamande distante de 60 km et ses ports de commerce (Dunkerque, Furnes, Nieuport, Ostende et Bruges avant l'ensablement) d'une part, et la route des foires de Champagne, d'autre part. Desservie par quelques grandes routes, située au cœur d'un réseau de rivières et de canaux (la plupart impropres à la navigation moderne), cette ville opulente contrôlait l'accès à la mer du Nord, et ce fut encore le cas au début de la Première Guerre mondiale.
Au cours de la Première Guerre Mondiale (1914 - 1918)
Après les inondations de Nieuport, les Allemands reportèrent leurs attaques sur la région d'Ypres, en octobre 1914. Ensuite Ypres, qui était située au centre de la zone dite "du saillant d'Ypres", une saillie en forme de demi-cercle sur la ligne de front de l'ouest, fut le théâtre de plusieurs batailles extrêmement sanglantes. L'armée allemande utilisa, pour la première fois, les gaz de combats contre les troupes canadiennes. Celles-ci, n'étant pas équipées pour faire face à ce type d'attaque, résistèrent malgré les dommages que causent le gaz moutarde. C'est le premier usage militaire du gaz moutarde (qui fut dès lors également appelé ypérite), lors de la troisième bataille d'Ypres (bataille de Passchendaele) en juillet 1917. En avril 1918, une importante offensive allemande fut arrêtée à Merkem, au nord, par les Belges, et aux monts de Flandre par les Britanniques et les Français. À partir de septembre, la contre-attaque des Alliés, commandée par le maréchal Foch, permit de libérer la Belgique. Plus de 300 000 Alliés dont 250 000 soldats du Commonwealth trouvèrent la mort au cours des combats. Soumise aux bombardements de l'artillerie allemande, la ville médiévale était presque entièrement détruite à l'issue de la guerre. La campagne environnant Ypres n'est qu'une vaste nécropole : on y compte quelque 170 cimetières militaires.
Ce dimanche 11 septembre 2016, je suis allé revoir cette jolie petite ville flamande, mais surtout avec l'intention d'y revivre la cérémonie du LAST POST vers 20 heures.
La Porte de Menin est le plus grand monument commémoratif de le Première Guerre Mondiale. Le "Last Post" est sonné chaque jour à 20 heures sous l'arche, un moment poignant.
Lorsque l’on regarde par l’entrée principale du Mémorial australien de la guerre, on voit au premier plan les lions, puis le Bassin de la Réflexion et enfin les escaliers qui mènent au Hall de la Mémoire. De là, les lions d’Ypres semblent garder le tombeau le plus célèbre de l’Australie, qui se trouve dans le hall : la tombe du soldat inconnu australien.
Le soldat inconnu arriva à la Porte de Menin le soir du 2 novembre 1993. Son cercueil était porté par six hommes des forces de défense australiennes, des Halles aux draps jusqu’à la Meensestraat, en passant par la Grand-Place. Là, il fut mis à terre sous les grandes arches du monument, sous les milliers de noms des «disparus ». Après une courte cérémonie, des joueurs de clairon des forces de défense australiennes et de la Last Post Association d’Ypres jouèrent The Last Post pour la dépouille d’un soldat qui allait rentrer chez lui, représentant tous ceux qui combattirent et moururent pour l’Australie dans le cœur de la capitale de la nation.
Les joueurs de clairon de la Last Post Association, des hommes de différents métiers, associés aux pompiers volontaires d’Ypres, rendent hommage aux morts de la Porte de Menin par le biais de cette cérémonie organisée tous les soirs depuis juillet 1928. L’idée vint du chef de la police d’Ypres, Pierre Vandenbraambussche, qui se trouvait à Ypres pendant les premiers mois de la guerre, alors que de nombreux habitants d’Ypres se trouvaient encore dans la ville malgré les bombardements allemands. Après avoir assisté à l’inauguration de la Porte en 1927, il rassembla un groupe d’amis partageant les mêmes idées, d’éminents citoyens de la ville, afin d’étudier des moyens qui permettraient aux foyers pour la protection desquels les soldats britanniques s’étaient battu de rendre hommage de manière plus formelle au sacrifice de l’Empire britannique à Ypres. C’est ainsi que naquit la cérémonie du Last Post, organisée tous les soirs sous la Porte de Menin.
A. B.
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En promenade à vélo d'Estaimpuis à Espierres-Helchin
De l’écluse d’Estaimpuis jusqu’à l’Escaut
Ce jeudi 8 septembre 2016, en ce bel après-midi ensoleillé, nous avons enfourché les vélos à l’Ecluse d’Estaimpuis pour longer le Canal de l’Espierre en direction du village d’Espierres – Helchin où le canal rejoint l’Escaut et où nous nous étions déjà rendus en hiver (Lien vers ce reportage : lien URL)
Voici notre trajet sur une carte soigneusement préparée par mon épouse (Merci !!!) :
Espierres-Helchin est une commune néerlandophone à facilités de Belgique située en Région flamande dans la province de Flandre-Occidentale. En néerlandais elle se nomme Spiere-Helkijn.
Elle se trouve sur la frontière linguistique, ici formée par l'Escaut, entre Courtrai (Kortrijk) et Tournai.
Le canal de l'Espierre venant de France, devenu non navigable mais promu, depuis un certain temps, à la navigation de plaisance, aboutit à l'Escaut au sud de la localité.
Voici les plus belles photos prises sur le trajet "aller".
L'écluse d'Estaimpuis En route vers Espierres - Helchin à 7 km
Le pont de l'autoroute E 403 Le pont du Petit Preu
Sur le territoire de la commune de Saint-Léger : Le Pont du Centre
La ferme dépendant de la Commanderie de Saint-Léger et l'Eglise Saint-Léger
Le pont-levis Mauroy
Au loin : Dottignies Bientôt Warcoing !
L'Ecluse de Warcoing
En vue du village d'Espierres - Helchin ! Nous arrivons en Région flamande !
Enfin le but de la promenade : l'Escaut !
Le retour par le même chemin fut un peu plus difficile avec le vent de face !
A. B.
Pour retrouver quelques explications au sujet de l'histoire du canal et de nos promenades précédentes :
Le Canal de l’Espierre (1) : lien URL
Espierres - Helchin : lien URL
Le Canal de l’Espierre (3) : lien URL
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