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Par Dans mes malles le 28 Septembre 2016 à 14:08
Notre séjour en Corse,
du 21 au 25 septembre 2016
Jour 5 : Incursion en montagne
Le 25 septembre, après avoir traversé la Corse en voiture du Sud vers le Nord, depuis Bonifacio, nous avons décidé d'effectuer un petit crochet par le flanc d'une montagne, le long de la Mer Tyrrhénienne.
En quittant la RN 198 à hauteur de Prunete, nous nous sommes dirigés vers le village de San Giuliano puis celui de Cervione.
En longeant une partie de la Corniche de la Castaniccia (région où règne le châtaignier), nous sommes redescendus par Santa Lucia-di-Moriani pour abourit à la petite cité balnéaire de Moriani-Plage (voir épisode suivant !).
Vers le reportage suivant : Dernière plage - Lien url
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Par Dans mes malles le 28 Septembre 2016 à 14:08
Notre séjour en Corse,
du 21 au 25 septembre 2016
Jour 5 : Dernière plage
Le 25 septembre, après avoir traversé la Corse en voiture depuis Bonifacio, nous avons décidé d'un dernier arrêt en bord de la Mer Tyrrhénienne, dans la localité de San Nicolao et plus précisément à la plage de MORIANI.
Nous avons découvert une toute petite plage.... en toute fin de saison !
et l'église très moderne et toute simple...
En passant devant une boutique de souvenir et de jeux de plage, notre attention a été attirée par une affiche de concert d'un groupe polyphonique, une musique que nous apprécions beaucoup !
A présent, en route pour l'aéroport de Bastia-Poretta et la remise du véhicule de location chez Europcar !
Vers le reportage suivant : A l'aéroport de Bastia-Poretta - Lien url
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Par Dans mes malles le 28 Septembre 2016 à 14:08
Notre séjour en Corse,
du 21 au 25 septembre 2016
Jour 5 : L'aéroport de BASTIA-PORETTA
Le 25 septembre, après avoir traversé la Corse en voiture depuis Bonifacio (à 230 km !), nous sommes arrivés à Bastia Poretta.
Après avoir rentré la voiture de location chez Europcar, nous avons passé un peu de temps à l'aéroport où mon épouse a pu revoir une de ses amies corses.
J'ai découvert une plaque commémorative :
Qu'est-il arrivé à l'auteur du "Petit Prince" aux commandes de son avion de reconnaissance, un beau jour de l'été 44 ? Le mystère n'est, à ce jour, pas éclairci.
Le 31 juillet à 8 h 45, un P38 Lightning F5B décolle de l'aéroport de Bastia-Poretta. Il porte sur ses ailes et sur son fuselage à la fois l'étoile de l'US Air Force et la cocarde tricolore des Français libres. Aux commandes, Antoine de Saint-Exupéry, 44 ans. Un pilote de guerre que l'épopée des pionniers de l'aéropostale avait rendu célèbre dans les années 1930, au même titre que Mermoz ou Guillaumet, mais aussi un homme célèbre dans le monde des lettres, le romancier de Courrier Sud ou de Vol de nuit, couronné par le prix Fémina en 1931, et surtout l'auteur de ce conte poétique qui toujours illuminera les rêves des enfants et de ceux qui savent le rester : Le Petit Prince.
Abattu par des chasseurs de la Luftwaffe
Jusqu'en 1972, les hypothèses les plus fantaisistes circuleront sur la disparition de Saint-Exupéry. Jusqu'à ce qu'une revue allemande, Der Landser, publie le compte rendu de mission de l'aspirant Robert Heichele de la Luftwaffe, rapportant que le 31 juillet 1944, alors qu'il revenait en compagnie du sergent Högel vers leur base d'Orange à bord de leurs chasseurs Focke Wulfe, ils avaient attaqué et descendu à 11 h 56, entre Castellane et Le Logis du Pin, un P38 dont le moteur droit avait pris feu et qui était allé s'abîmer en mer. La découverte par un pêcheur, en 1998, d'une gourmette appartenant à Saint-Exupéry confirmera le récit de l'aspirant Heichele, lui-même abattu quelques semaines plus tard dans le ciel du sud de la France.
Reste pourtant une question : pourquoi, alors que Saint-Exupéry, sur son trajet retour, volait entre 6 500 et 8 000 mètres, a-t-il plongé comme s'il allait attaquer les chasseurs allemands, 1 000 mètres plus bas, et alors que son P38, strictement d'observation, n'avait aucun armement puisque ses canons et mitrailleuses avaient été remplacés par des appareils photo ? Panne d'oxygène, malaise, coup de bluff ou de folie ? Pour tous les spécialistes du combat aérien, le mystère demeure.
Aéroport du département de la Haute-Corse, "Bastia Poretta" est situé à 16 km au sud de la ville, sur la commune de Lucciana.
Ouvert au trafic national et international commercial, régulier ou de saison, c'est le deuxième aéroport de Corse en nombre de passagers après l'aéroport d'Ajaccio Napoléon Bonaparte.
Notre avion s'est envolé de l'aéroport de Bastia-Poretta vers 17h50 et s'est posé à Lesquin un peu en avance sur l'horaire, à 19h15.
Merveilleux séjour en Corse ! Nous y retournerons l'année prochaine !
FIN de ce reportage sur notre séjour en Corse du 21 au 25 septembre 2016.
A. B.
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